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RENCONTRES LITTÉRAIRES  >  DÉTOURS D'AUTEURS

> Les détours d'auteurs : un accès à la littérature pour des publics empêchés

Le Centre littéraire Escales des lettres a entamé il y a quelques années une nouvelle dynamique de rencontres littéraires en élargissant son champs d’intervention afin de favoriser l’accès à la culture au plus grand nombre. Ces détours d’auteurs sont autant d’escales littéraires pour des publics qui restent, malgré eux, difficilement concernés par les rencontres proposées en région : les personnes détenues en établissements pénitentiaires.

En encourageant l’interaction entre les écrivains contemporains et les personnes détenues, l’objectif premier est de partager des expériences autour de la littérature, transmettre le goût de la lecture et, de manière générale, sensibiliser les personnes à la pratique artistique et culturelle. Ces rencontres sont le fruit d’un travail de médiation auprès des personnes détenues en les accompagnant dans la découverte d’une œuvre afin de faciliter sa compréhension et de débattre ensemble autour de différents thèmes. Il s’agit à chaque fois de moments de partages, de discussions et d’échanges culturels, qui apportent des connaissances, créent du lien : une porte d’entrée sur l’imaginaire, une clef de reconstruction personnelle et une ouverture sur le monde extérieur.
 

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Les Détours d'auteurs

avec l'auteure Anne-Christine TINEL 

 le 14 Mars 2023 au CD de Vendin-Le-Vieil

le 15 Mars à la MA de Sequedin

le 16 Mars à la MA de Dunkerque

Née en 1968 à Lyon, agrégée de lettres modernes, Anne-Christine Tinel a une pratique diversifiée de l’écriture, à travers celle de livrets d'opéra et de pièces de théâtre.
C'est dans la région du Luberon, en 1996 qu'elle a concrétisé sa voca
tion d'écriture pour la scène : au Festival classique de Haute-Provence, la Compagnie Crue présente Dialogue parmi les eaux mortes, un opéra contemporain de David Ducros dont elle écrit le livret. Ce compagnonnage avec le compositeur se poursuit à l'occasion de Vent debout, avec la coopérative artistique Pôle Sud, regroupant danseurs, musiciens, plasticiens et comédiens. Une expérience collective de la création qui se double d'un travail plus solitaire, allant du poème à des ouvrages à horizon romanesque.

 

Viennent ensuite sept années de vie tunisienne par lesquelles Anne-Christine Tinel renoue avec une enfance vécue en Algérie. Parallèlement à l’enseignement de la littérature et de l’histoire à l’université de Tunis, elle mène plusieurs projets d’écriture pour le théâtre (notamment La nouvelle gueule du loup en 2004 et La dépossession en 2006), et publie son premier roman Tunis, par hasard (éditions Elyzad, 2008). Le travail qu'elle avait par ailleurs inauguré au contact de peintres et plasticiens en France se poursuit, prend d'autres formes, allant du poème à l'essai, avec des créateurs tunisiens.

 

En 2007, elle rentre en France et se consacre essentiellement à l’écriture. En 2009, elle est cofondatrice de Komma, collectif artistique. Son deuxième roman L’œil postiche de la statue kongo, Prix spécial du jury de la ville de Toulouse, paraît aux éditions Elyzad en novembre 2009. Elle participe en 2018 au projet collectif d’écriture théâtrale Un monde sans théâtre avec six autres auteurs. L’oppression est devenue une thématique récurrente de son imaginaire après plusieurs années passées en Tunisie et l’expérience de la dictature sous Ben Ali. Fin 2022 paraît son dernier roman, toujours aux éditions Elyzad : Malena, c’est ton nom.

Un monde sans théâtre

Éditions Les Cygnes, 2018

 

Ce recueil rassemble sept courtes pièces de théâtre inspirées par la thématique « Un monde sans théâtre », qui ont été anonymement sélectionnées par un jury composé d’auteurs et autrices de deux régions : Occitanie et Atlantique. Il est le fruit d’une belle rencontre entre deux délégations régionales des E.A.T. (Ecrivains Associés du Théâtre), les E.A.T.- Occitanie et les E.A.T.- Atlantique, dans le cadre de la première édition des « Transversales ».

 

Avec les textes des auteurs Gustave Akakpo, Louise Caron, Lise Martin, Kamal Rawas, Sylvain Renard, Cécile Thiercelin et Anne-Christine Tinel.

C'est autour de ce recueil que les personnes détenues rencontreront l'auteure dans le cadre d'un travail de "lecture à voix haute" en amont de la rencontre.

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Les Détours d'auteurs

avec l'écrivain Eugène ÉBODÉ

 le 6 Février 2023 à la MA d'Arras

le 7 Février à la MA de Valenciennes

le 8 Février au CD de Maubeuge 

La Rose dans le bus jaune La Rose n'est autre que Rosa Parks et le bus jaune le fameux bus qui a vu Rosa Parks refuser de laisser sa place assise à un Blanc. L’histoire d’une femme noire qui s’est assise à la place d’une personne blanche dans un bus à l’époque de la ségrégation raciale aux États-Unis. 

Le roman démarre astucieusement par le récit de cette fameuse journée du 1er décembre 1955 par Rosa Parks elle-même. Car c'est Rosa Parks qui tout au long du livre s'exprime et nous fait revivre ces événements exceptionnels.

L'intérêt du roman est double : saisir la personnalité de Rosa Parks, comprendre ses forces, ses motivations, ses inquiétudes. Et revivre de l'intérieur ses quelques mois qui ont fait basculer la cause pour l'égalité des droits civiques des Noirs aux Etats-Unis. 

L'intimité de Rosa se dévoile à travers ses proches : Raymond, son mari, également engagé dans le combat, dont la santé est déclinante et qui craint d'éventuelles représailles. Sa mère, avec qui le couple vit, qui retrouve de la vigueur en partageant la ferveur qui gagne la ville de Montgomery lorsque démarre la campagne de boycott des bus.

Rosa Parks parle également de ces incroyables personnages que le combat pour les droits civiques lui a permis de rencontrer et en premier lieu Martin Luther King, qui au moment des faits, commence à fasciner ses auditoires.

La Rose dans le bus jaune d'Eugène Ebodé est un bijou littéraire qui manie avec merveille la Grande Histoire et le quotidien de ceux et celles qui la vivent dans leur chair et dans leur âme.

Le récit d’Eugène Ébodé est la suite de longues recherches minutieuses et est très détaillé, il s’inspire de faits réels et c’est ce point qui attire beaucoup, une belle histoire vraie. Il retranscrit bien l'« ambiance » de cette période mythique. Ce livre nous fait bien comprendre ce qu’était la ségrégation raciale. C’est une véritable leçon d’humanité avant d'être une histoire. Les personnages sont bien travaillés, profonds, faciles à identifier.

Abdelkader DJEMAI
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Détours d'auteurs

avec le romancier 

Abdelkader DJEMAI

décembre 2022

en milieu pénitentiaire

à Sequedin, Maubeuge et Valenciennes.

> Abdelkader DJEMAI

De parents analphabètes, Abdelkader Djemaï est né à Oran le 16 novembre 1948, dans une famille d’origine modeste. C’est un livre de la Bibliothèque verte lu à l’âge de dix ans qui lui donna le goût de la lecture et l’envie d’écrire. Découvrant aussi « les trésors des dictionnaires qu'il continue d'ouvrir avec gourmandise », il écrivit, à l’adolescence, ses premiers textes littéraires et collabora, en 1966-67 au journal La République d’Oran dont il rejoignit la rédaction en 1970 après avoir enseigné durant deux ans dans une école primaire. Il exerça le métier de journaliste jusqu'en 1993. Son premier roman Saison de pierres parut en 1986 en Algérie (SNED) suivi, en 1991, par Mémoires de Nègre (ENAL). En 1993, il quitta l’Algérie pour Paris où il publie de nombreux romans, récits, de livres de voyage dont plusieurs en collaboration avec des photographes (Philippe Dupuich, Jean-André Bertozzi, Philippe Lafond). Plusieurs de ses écrits ont été récompensés par un prix littéraire. Il a également publié de nombreux textes et nouvelles dans des revues et dans des recueils collectifs. Certains de ses romans ont été adaptés pour le théâtre (Un été de cendres, 31, rue de l’Aigle sous le titre L’Affaire RD, Gare du Nord sous celui de Bonbon, Bartolo et Zalamite) ou donnés en lecture-spectacle, Un été de cendres en 1995 au festival d’Avignon avec Catherine Hiegel, Matisse à Tanger, adaptée de Zohra sur la terrasse, avec le comédien Daniel Crumb. Il est également l’auteur de cinq pièces radiophoniques diffusées dans l’émission « Les Petits polars de Sophie » sur France Bleu. Il a aussi écrit des pièces en arabe dialectal comme Hab el Moulouk Fi Tarik el Harb, montée par le Théâtre régional d’Oran.

Il anime régulièrement des ateliers d'écriture, en France et à l’étranger, dans différents établissements scolaires, dans des médiathèques et en milieu associatif ou carcéral. Il participe à des animations et donne des conférences dans les instituts et les Alliances françaises à l’étranger. Chevalier des Arts et Lettres, il est président du Prix Amerigo-Vespucci et ancien membre du Comité et de la Commission francophonie à la Société des Gens de Lettres. Il considère que l'écriture est «un métier artisanal, il s'agit d'aller à l'essentiel, en tentant de proposer aux lecteurs des textes clairs, limpides et efficaces. »

L'écrivain a échangé avec les personnes détenues de Sequedin, Maubeuge et Valenciennes autour de son dernier roman Mokhtar et le figuier (éditions Le pommier, 2022) :

Algérie, années 1950. Mokhtar grandit à l'ombre du figuier de son douar, contre lequel son grand-père Kouider aime s'adosser pour faire la sieste. Aussi vieux que le grand-père, peut-être plus, le figuier est un membre à part entière de la famille, prodiguant ses fruits deux fois l'an et une sève dont on fait des cataplasmes. Mais un jour, Moussa, le père, part avec femme et enfants vivre à la ville.
Là, Mokhtar découvre la mer et ses poissons, le cinéma Lux, le hammam, les premières lectures et surtout l'écriture. Quand, un soir où il fait ses devoirs, sa mère lui trace maladroitement dans la paume les huit lettres de leur nom, il comprend qu'à ces lettres il faudra en ajouter beaucoup d'autres... A hauteur d'enfant, Abdelkader Djemaï nous restitue l'Algérie à la veille de l'indépendance. Ses pages sentent l'encens et le benjoin qui se consument sur le kanoun ; la lumière y est celle des murs blanchis à la chaux et des paysages parcourus par un bus jaune de la compagnie L'Hirondelle.
Non loin s'étend la ferme de Manhès, le Pied-noir dont la femme Martine arbore de belles toilettes. Et plus loin encore, mais à l'approche : le bourdonnement des hélicoptères et la danse des convois militaires...

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Détours d'auteurs

avec la romancière 

Carole FIVES

les 

27/28/29 Septembre 2022

en milieu pénitentiaire

à Béthune, Sequedin et Maubeuge.

> Carole FIVES

Carole Fives est une écrivaine, chroniqueuse d’art et plasticienne. Après une licence de philosophie à l'Université de Toulouse et un master d'arts plastiques, elle obtient le diplôme national supérieur d'expression plastique (DNSEP) des Beaux-arts de Paris. Après quelques années d’enseignement à Lille, elle commence à écrire pour expliquer son travail de peintre et depuis elle n’a plus arrêté. Son premier livre Quand nous serons heureux (éditions Le Passage, 2010, Prix Technikart) est un recueil de nouvelles dans lequel sont disséqués les travers d’une société en quête de modèles. En 2012, Carole Fives fait paraître son premier roman Que nos vies aient l’air d’un film parfait (éditions Le Passage) dans lequel elle évoque avec justesse le sujet délicat du divorce et de la fratrie désunie. En 2013, direction les États-Unis dans le cadre d’une résidence d’artiste (New Hampshire), c'est alors l’achèvement de l’écriture du roman C’est dimanche et je n’y suis pour rien (éditions Gallimard, 2015). Suivront, toujours chez Gallimard, la publication de Tenir jusqu'à l'aube en 2018, qui tire un fin portrait de la famille contemporaine, et Térébenthine, en 2020, qui met en scène trois étudiants aux Beaux-arts à la fin des années 1990, leur envie de peindre et de dessiner en dépit d’un académisme qui a décrété la mort de la peinture et de la figuration. Ce roman est en cours d’adaptation pour une série télévisuelle.

À l'occasion de cette rentrée littéraire, Carole Fives nous fait le bonheur de revenir avec Escales des lettres dans les Hauts-de-France pour nous présenter son nouveau roman Quelque chose à te dire qui vient de paraître aux éditions Gallimard.

Avec Quelque chose à te dire, la romancière nous invite à plonger dans le processus d’écriture. Identité littéraire et trahison sont au cœur de son ouvrage, subtil et efficace. Un thriller psychologique bâtit autour du triptyque de l'admiration, de l'exploration et de l'imagination. Une manipulation littéraire pleine d'élégance qui se dévore et embarque le lecteur jusqu'à une chute inoubliable. Son roman nous permet de regarder le monde de l’édition avec un regard critique. Carole Fives s’est déjà penchée dans deux précédents ouvrages sur le processus de création, mais si elle évoquait jusqu’alors le monde des Beaux-arts dont elle est issue, elle nous plonge cette fois-ci dans l’aventure intérieure d’une romancière en mal d’inspiration, avec un style vif et maîtrisé à merveille, à la fois poétique, graphique et cinématographique. La romancière, rend hommage aux grands livres et aux auteurs admirés qu’elle partage avec délectation avec les lecteurs et offre de nouveaux motifs à ses thèmes de prédilections : écrire la vie, l'écrire afin qu'elle soit plus forte, plus juste. Ce roman est classé parmi les 10 meilleurs de la rentrée par l’Express et Madame Figaro.

 

Détours d'auteurs : en marge des Cafés littéraires, rencontres avec les personnes détenues et Carole Fives autour de son roman Térébenthine les 27, 28 et 29 septembre dans les établissements pénitentiaires de Béthune, Sequedin et Maubeuge

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Détours d'auteurs

avec la romancière et poète

Fanny CHIARELLO

les 

13/14/15 Juin 

en milieu pénitentiaire

à Dunkerque, Sequedin,

Vendin-Le-Vieil, Valenciennes, Maubeuge.

Fanny CHIARELLO Je suis née à Béthune en 1974. J’écris des romans et de la poésie, un peu de littérature jeunesse, parfois des nouvelles de commande. Mes seules activités annexes sont les ateliers d’écriture et les rencontres, principalement dans des établissements scolaires et culturels. J’ai débuté chez un éditeur lillois, Page à Page, avant de signer aux éditions de l’Olivier, où j’ai publié sept livres à ce jour – six romans et le récit de ma rencontre à New York avec la compositrice Meredith Monk. J’ai également publié un objet littéraire un peu hybride à la Contre Allée, plusieurs livres pour adolescents (quatre à L’école des loisirs, un au Rouergue) et de la poésie aux Carnets du Dessert de Lune et aux éditions de l’Attente. J’aime changer d’univers, de forme et de tonalité dans (presque) chaque nouveau texte. Chaque jour, je poursuis l’exploration des villes et des campagnes qui m’entourent, en courant ou à vélo, avec mon appareil photo et mon carnet ; ces allers-retours entre l’extérieur et mon bureau sont devenus ma méthode de travail à part entière. J’applique également ces méthodes lors de mes déplacements et résidences, afin de nouer avec les territoires une forme d’intimité particulière, fondée sur une approche sensorielle qui me semble ajouter une dimension à la simple approche documentée des lieux.

À mes heures perdues, je constitue un répertoire de créatrices sonores (pour la plupart très underground) du monde entier. J’en ai recensé 1447 à ce jour.

Fanny Chiarello, poétesse et romancière, vit dans le Bassin minier du Pas-de-Calais. Elle écrit des romans et de la poésie en changeant de forme et de tonalité dans (presque) chaque nouveau texte. Son dernier roman Terrils tout partout (Éditions Cours toujours).

« Enfant, Laïka ne voyait pas les deux énormes terrils à côté desquels elle a grandi et n’avait d’yeux que pour la grande ville. Vingt-sept ans plus tard, installée à Lens, elle découvre un territoire étonnant, devenu entre-temps Patrimoine mondial de l’UNESCO.
Sortis du ventre noir de la terre à l’assaut du ciel du Nord, les terrils de Laïka racontent à la fois une renaissance personnelle et une lutte sans merci que se livrent depuis des siècles la nature et l’homme. Un récit décapant et touchant…
 »

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Détours d'auteurs 16/17 Mai en milieu pénitentiaire

avec 

l'écrivain et journaliste Roberto FERRUCCI

En résidence d'écriture à Lille invité par 

Science-Po Lille 

et

la Librairie Meura

Rencontre à la librairie Le mercredi 25 mai 2022 à 18h00 

Roberto FERRUCCI est né à Venise en 1960. Journaliste et écrivain et directeur de la collection de livres numérique Collirio en Italie, ses romans ont été primés dans son pays natal à maintes reprises. Il est notamment l’auteur de Ça change quoi aux éditions du Seuil, préfacé par Antonio Tabucchi. Il a également publié pour la Meet (Maison des écrivains étrangers et des traducteurs) de Saint-Nazaire le roman Sentiments subversifs. Il est par ailleurs le traducteur italien de Jean-Philippe Toussaint et Patrick Deville. Il a effectué plusieurs résidences en France, à la MEET en 2008, La Marelle en octobre 2013, en mars/avril 2014, à Marseille et à la Villa Marguerite Yourcenar en 2016. En France, Il participe à de nombreuses rencontres dédiées à la traduction mais aussi ateliers, masterclass, tables rondes, conférences (à l’ENS), colloques et rencontres publiques (à la Mel). Après Venise est lagune (2016), Ces histoires qui arrivent est son deuxième texte paru à La Contre Allée.

> Les rencontres littéraires programmées en 2022

La poète et romancière Fanny CHIARELLO :

DUNKERQUE : lundi 13/06 à 10h - Café littéraire à la Maison d’Arrêt

SEQUEDIN : mardi 14/06 à 10h - Café littéraire au Centre de Détention

VENDIN-LE-VIEIL : mardi 14/06 à 14h - Café littéraire au Centre de Détention

VALENCIENNES : mercredi 15/06 à 10h – Café littéraire à la Maison d’Arrêt

MAUBEUGE : mercredi 15/06 à 14h - Café littéraire à la Maison d’Arrêt

L'écrivain et journaliste Roberto FERRUCCI :

LONGUENESSE et DUNKERQUE : lundi 16/05  - Café littéraire aux Maisons d'Arrêts

ARRAS et VENDIN-LE-VIEIL : mardi 17/05  - Café littéraire à la maison d'Arrêt et au Centre de détention

Le poète et romancier Patrick VARETZ :

BETHUNE et DUNKERQUE : mardi 12/04  - Café littéraire aux Maisons d'Arrêts

La poète et artiste Cécile A.HOLDBAN :

ARRAS : lundi 14/03 à 14h30 - Café littéraire à la Maison d’Arrêt

VENDIN-LE-VIEIL : mardi 15/03 à 13h30 - Café littéraire au Centre de Détention

LONGUENESSE : mercredi 16/03 à 15h - Café littéraire au Centre de Détention

VALENCIENNES : vendredi 18/03 à 13h45 – Café littéraire à la Maison d’Arrêt

> Les rencontres littéraires programmées en 2021


Septembre : Maison Centrale de Vendin-le-Vieil et Maison d'Arrêt de Béthune avec le romancier Wilfried N'Sondé (Photo)

Octobre : avec la romancière et poète Samantha Barandson au Centre de détention de Longuenesse

Novembre : avec la romancier Abdelkhader Djemai

Décembre : avec la Poète et Performeuse Cécile Richard

> Les rencontres littéraires programmées en 2020

6 et 13 janvier : Centre de Détention de Longuenesse avec l'auteur Luc Tartar

10 et 14 janvier : Maison d'Arrêt de Valenciennes avec l'auteur Luc Tartar

8 et 15 janvier : Maison d'Arrêt de Béthune avec l'auteur Luc Tartar

7 et 11 février : Maison d'Arrêt d'Arras avec l'écrivain David Thomas

5 et 12 février : Maison Centrale de Vendin-le-Vieil avec l'écrivain David Thomas

 

3 et 10 mars : Maison d'Arrêt de Valenciennes avec l'écrivain Eugène Savitzkaya

 

3 et 11 mars : Maison d'Arrêt de Dunkerque avec l'écrivain Eugène Savitzkaya

 

29 avril : Maison d'Arrêt de Béthune dans le cadre du Festival Lettres nomades (annulés)


Septembre : Maison Centrale de Vendin-le-Vieil  et Maison d'Arrêt de Sequedin avec la romancière Julia Deck 

Octobre : Maison Centrale de Vendin-le-Vieil et Maison d'Arrêt de Douai  avec le Romancier Yahia Belaskri

> Les rencontres littéraires programmées en 2019

15 janvier : Centre de Détention de Bapaume avec l'écrivain Ryoko Sekiguchi

16 janvier : Maison d'Arrêt d'Arras avec l'écrivain Ryoko Sekiguchi

22 janvier et 5 février : Centre de Détention de Bapaume avec l'écrivain Thomas Vinau

23 janvier et 6 février : Maison Centrale de Vendin-le-Vieil avec l'écrivain Thomas Vinau

26 février et 12 mars : Maison d'Arrêt de Douai avec les écrivains Christian Garcin et Thierry Gillyboeuf

26 février et 14 mars : Maison d'Arrêt de Sequedin avec les écrivains Christian Garcin et Thierry Gillyboeuf

27 février et 13 mars : Maison Centrale de Vendin-le-Vieil avec l'écrivain Thierry Gillyboeuf

27 février et 13 mars : Maison d'Arrêt d'Arras avec l'écrivain Christian Garcin 

20 mars et 2 avril : Maison d'Arrêt de Béthune avec l'écrivain Lise Charles

20 mars et 3 avril : Centre de Détention de Longuenesse avec l'écrivain Lise Charles

 

24 avril et 7/15/22 mai : Maison d'Arrêt de Béthune avec les écrivains Yahia Belaskri, Halima Hamdane et Sami Tchak, puis Roberto Ferrucci, Simonetta Greggio et Tiziano Scarpa puis avec Hala Mohammad, Alfredo Pita et Carole Zalberg

 

28 mai et 4 juin : Maison d'Arrêt d'Arras avec l'écrivain Erwan Desplanques

 

28 mai et 5 juin : Centre de Détention de Bapaume avec l'écrivain Erwan Desplanques

 

4 et 17 septembre : Centre de Détention de Longuenesse avec la romancière Lydie Salvayre

 

4 et 18 septembre : Maison Centrale de Vendin-le-Vieil avec la romancière Lydie Salvayre

24 septembre et 8 octobre : Maison d'Arrêt de Valenciennes avec l'éditrice Dominique Brisson

24 septembre et 9 octobre : Maison d'Arrêt de Douai avec l'éditrice Dominique Brisson

 

26 septembre et 10 octobre : Centre de Détention de Longuenesse avec le poète Jacques Darras

 


 

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